RWANDA-OUGANDA : ESPIONNAGE ET RÔLE DESTRUCTEUR DE LA «FEMME» RWANDAISE !

@Burundibwiza.com mise à jour. Source : Patriote-résistant .

Set officiers ougandais viennent d’être jugé par la cours martiale de l’Ouganda pour espionnage en faveur du Rwanda. Ils auraient été utilisé par les agents de renseignement rwandais pour livrer des renseignements sensibles à la sécurité du pays.

Parmi eux il y a des officiers de l’armée de l’aire ougandaise dont le Lt Philippe Ankunda. Pilote de l’armée ougandaise c’est à travers sa «femme» que les informations sensibles atteignaient Kigali.

La «femme» est une jolie rwandaise qui aurait séduit cet officier et obtenir le mariage dans le but d’avoir des informations nécessaires sur la flotte aérienne de l’armée ougandaise notamment par rapport aux avions de combat Soukhoi Su-30MK2. Le régime de Kigali, dans sa logique déstabilisatrise, voudrait à tout prix saboter ces précieux avions que l’Ouganda avait doté son armée à la hauteur des centaines des millions de dollars.

Le Su-30MK2 est un avion de combat multi-rôle qui assure des missions de supériorité aérienne, dissuasion nucléaire, frappe stratégique, interdiction, suppression de défenses antiaériennes,lutte anti-navire…, avec la capacité de frappe précise à très longue distance , plus ou moins de 3000 Km/heure et 4 heures d’autonomie de combat. Le prix unitaire étant de 73 millions de dollars (2014) c’est un avion russe de nouvelle génération dite «4++» intégrant la technologie avancée de la variante Soukhoi Su-35.

L’ Ouganda, avec l’Algérie et l’Angola,sont les seuls pays en Afrique à disposer de ces avions de combat. L’ Angola aurait seulement des anciennes versions contrairement à l’Algérie et Ouganda qui en a accueilli en 2016, ce qui dès lors fait agiter le régime ethno-fasciste de Kigali dont l’armée se verrait paralyser par la puissance de ces avions en cas de guerre entre les deux pays.

Je retiens l’attention sur cette femme rwandaise, l’«Umuchengezi». J’ai déjà consacré un article à un sujet similaire , parlant des «Abacengezi» (libérateurs offensifs ) et et les «Abatabaazi» («libérateurs défensifs»): https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=2706280556285206&id=100007098646679

Femme, sex comme «arme de guerre» est une vielle pratique de l’espionnage qu’utilise le Rwanda. Où que nous soyons ouvrons l’oeil avec ces jolies créatures qui s’improvisent dans nos environnements et qui nous servent de « femme». Le côté mauvais de cette pratique c’est la mauvaise image des femmes Tutsi rwandaises qui est véhiculée.

Alors que le mariage inter-ethnique est le moyen par excellence pour renforcer les liens entre les communautés et les pays pour une paix durable ,les femmes rwandaises sont devenues un instrument de destruction utilisé par le régime de Kigali. C’est auto-destructreur du point de vue social. Ce rôle porte gravement atteinte à la nature même de la femme(le sexe me peut pas être utilisé comme une arme), son rôle social et au mariage,une institution Sainte (du point de vue culturel et religieux) qui devrait être protégée car elle est la base de toute société. Cette culture rwandaise est ancienne (j’en parle en profondeur dans mon ouvrage…),et devrait être combattue,y compris par les rwandaises et rwandais épris de paix.

C’est l’image de toute une ethnie qui est affectée par cette pratique moyenâgeuse qui renforce la méfiance entre les communautés. Il y a peu de temps j’avais partagé ici le témoignage d’une connaissance rwandaise qui, victime quotidienne de la stigmatisation et méfiance, m’expliquait comment il faudra des générations pour soigner leur image aux prés des peuples de la région (RDC, Burundi, Ouganda, Ntanzanie et Kenya).

Car, disait-elle, tout ce que Paul Kagame aura laissé comme héritage aux Tutsis c’est la rejet et la méfiance des autres communautés. Cette information que je partage circule dans certains médias ougandais qui ne manquent pas de souligner le rôle destructeur de ces femmes rwandaises. Il y a plusieurs cas de ce genre. C’est une image de plus en plus encrée dans nos sociétés,et les innocents en sont malheureusement victimes.

Enfin, ceux qui se plaignent du «rejet» et de la «haine» dont ils sont victimes devraient avoir le courage de se poser la question de savoir pourquoi celà est-il possible et, surtout de combattre ces pratiques honteuses. Mais ils ne le feront pas certainement, ayant toujours des gueules pour crier à la «haine» et menacer ceux qui proposent des solutions concrètes pour la cohabitation pacifique et l’acceptation mutuelle entre les communautés.

C’est ce que je dis ici qui constitue pour eux la «haine» ,et non pas l ‘attitude d’un régime dont les pratiques barbares ne font que cristalliser la méfiance de tous les peuples de la région envers une communauté dont il s’était auto-proclamé «sauveur» alors qu’il ne fait qu’ hypothéquer son avenir de paix avec d’autres peuples.

Sé Marcelin CIKWANINE

11 août 2020

Patriote-résistant
consciencecbm@gmail.com

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