Le Chef de l’Etat fête la pâques à l’église du rocher de Buye.

@Burundibwiza.com mise à jour. Source : RTNB  par NKURUNZIZA Dieudonné.

Le chef de l’Etat, Pierre Nkurunziza en compagnie de sa famille, s’est joint dimanche 12 avril 2020 aux chrétiens de l’église du Rocher de Buye en commune Mwumba dans la province de Ngozi, dans la prière à l’occasion de la fête pascale.

La 1ère dame Denise Nkurunziza a preché sur la parole de Dieu se trouvant dans Romains 8:32 : “Lui, qui n’a point épargné son propre Fils, mais qui l’a livré pour nous tous, comment ne nous donnera-t-il pas aussi toutes choses ?” Dieu n’oubliera jamais les hommes qui suivent sa volonté, a-t-elle expliqué et demande aux chrétiens de vivre dans la volonté divine. 

Le chef de l’état, Pierre Nkurunziza a d’abord souhaité une joyeuse fête de Pâques à tous les chrétiens du Burundi. La Pâques de cette année n’est pas comme les autres à voire le contexte dans lequel le monde entier se trouve. Pierre Nkurunziza a demandé aux Chrétiens du Burundi de ne pas avoir peur car notre pays a conclu un pacte avec Dieu. La pâque est un moment de communion avec Dieu car là il manifeste sa présence et sa puissance et conduit à des lendemains meilleurs, a indiqué le Chef de l’Etat. Cette Pâques sera une nouvelle ère dans la vie des burundais grâce à la protection divine a-t-il ajouté. 

Pierre Nkurunziza est revenu sur les promesses reçues lors de différentes prières d’action de grâce organisées par la famille présidentielle que ça soit à Buye en 2018, à Bubanza en août 2019 et à la récente d’Itaba en province de Gitega à la veille de la fin d’année 2019.

De la même occasion, il a interrogé les chrétiens de cette église qu’ils sont toujours dans les promesses et les a exhortés de vivre dans la droiture pour accomplir la volonté divine en s’éloignant du péché générateur de la peur.
La pâque est synonyme de fin de traversé du désert, de rédemption, de la manifestation de la puissance divine et de la délivrance.

Dans sa prédication, se référant à l’évangile de saint Luc 22: 39-45 où il a évoqué la détresse de Jésus Christ avant sa mort, quand un jour il monta sur une montagne d’oliviers en compagnie de ces disciples pour une prière afin qu’ils ne tombent pas en tentation, cette détresse lui a poussé à demander à Dieu de l’éloigner de la coupe puis se résigna, que sa volonté ne se fasse pas mais que celle de Dieu soit faite. 

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